Samedi 9 juin 2018, Les Facilitateurs d’Alsace ont organisé leur forum ouvert sur la Place de la République à Strasbourg afin de répondre à LA question : Il est où le bonheur ?
L’idée avait germé lors de la rencontre des Facilitateurs d’Alsace de septembre 2017. Organiser un événement pour favoriser la rencontre des facilitateurs avec le public. Un thème : C’est quoi le bonheur ? Un lieu : la Place de la République à Strasbourg. Une date : mai ou juin 2018. Et bien, l’idée est devenue réalité après plusieurs rencontres et sessions de travail.
Samedi 9 juin 2018 : il est où le bonheur ?
C’est sous un soleil estival qu’une dizaines de membres du collectifs des Facilitateurs d’Alsace ont disposé leurs feutres, feuilles, panneaux, cordes à linge et baguette magique à l’ombre des arbres centenaires de la Place de la République à Strasbourg.
Comme annoncé, trois ateliers étaient proposés au public.
Le cri du bonheur. Les participants voyageront au gré de trois villages pour réfléchir ensemble sur « Les bonheurs quotidiens », « Votre idéal du bonheur » et « L’anti-bonheur, ou la fausse idée du bonheur »… avant de co-construire la Place publique du Bonheur.
Les acteurs du bonheur collectif. A partir de la question, « Quel est ton plus beau souvenir à Strasbourg? » vous allez contribuer à la création d’une fresque et à l’écriture d’un livre d’or « Strasbourg, capitale du bonheur ».
Un tramway nommé bonheur. Enfants et adultes seront invités à réfléchir à la manière de propager le bonheur. Rire, écritures et dessins seront au programme.
Attirés par la promotion de l’événement sur les réseaux sociaux, par le bouche à oreille ou par les attroupements du jour, près d’une centaine de femmes, hommes et enfants sont venus réfléchir quelques minutes ou quelques heures sur sa relation au bonheur. De nombreux participants venus de toute l’Europe.
S’il ne fallait retenir qu’une seule idée de cet après-midi, c’est qu’un happening sur le bonheur contribue déjà à en apporter un peu et beaucoup aux personnes qui s’y intéressent !
Mais plus que des mots, place aux images.
